TIPE : Traceur de lignes automatisé

I. Présentation :

• Le traceur de lignes est un système aujourd’hui encore manuel. Il permet donc de tracer les lignes des terrains de football, de rugby… C’est un outil indispensable à tout club, qui permet le bon déroulement d’un match, et le respect des règles en vigueur.
• L’objectif va donc être d’automatiser ce système, afin de répondre aux besoins des clubs de football et de rugby, notamment aux clubs professionnel car on sait bien que pour eux l’argent n’est pas un souci et que les travaux (minimes à leur échelle) d’installation du système ainsi que le prix du système à proprement parler seront pour eux bénins, surtout qu’à long termes, cet investissement pourrait leur permettre de perdre moins d’argent

II. Quels besoins ?

• Aujourd’hui, tout s’automatise. La machine prend la place de l’homme
• L’erreur étant humaine et malgré les outils utilisés pour tracer les lignes comme de faisceaux lumineux ou autre, l’intérêt est également de rendre le système plus précis
• Cette idée rejoint un peu l’idée précédente. Le traceur doit faire preuve d’une concentration maximale sur les lignes droites pour justement qu’elles restent droites mais aussi et surtout sur les cercles, demi-cercles et arc de cercles présents à différents endroits sur un terrain de football
• Economique : Même si les grands clubs de football ou de rugby possèdent de gros moyens financiers, le traçage des lignes est réalisé par une personne rémunérée seulement pour ce travail. Sur le long terme, ce système permettrait aux clubs d’économiser un salaire même si ce n’est pas un de leurs problèmes majeurs.

##III. Quelles solutions ?

• Chariot filoguidé : le but est d’enterrer un fil de cuivre 10cm en dessous de la surface du sol et de le faire suivre par le biais d’un signal électromagnétique.
• Pour cela : La roue avant sera pivotante et ce grâce a un système poulie courroie. A l’arrière, une des deux roues sera entrainée par un deuxième moteur. Un système électronique qui captera le signal émis par le fil de cuivre noyé dans le sol.
• Contraintes à respecter :
  • Vitesse : Une vitesse trop grande pourrait entrainer des éclaboussures de peinture, alors qu’au contraire, une vitesse trop faible pourrait entrainer un amas de peinture, et donc nuire à la trajectoire du ballon
  • Adhérence : Bien évidemment, il faudra que les roues arrières qui seront les roues de propulsion aient une bonne adhérence a la surface (en l’occurrence de l’herbe)

IV. Conclusion

• Beaucoup de travail à effectuer à commencer par l’acquisition d’un traceur manuel ou la fabrication de celui-ci ce qui serait une solution certes moins couteuse mais aussi plus longue.